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 let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy)

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Teddy S-R Greyson

BIENVENUE A CHICAGO
Teddy S-R Greyson

PSEUDO : SWEET PEACH (anaïs)
MESSAGES : 152
AVATAR : Troian Bellisario

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MessageSujet: let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy)   let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) EmptyVen 8 Fév - 21:48


teddy sparrow-rosea greyson

PRÉNOMS › Teddy Sparrow-Rosea. NOM › Greyson. AGE › Vingt-deux ans. LIEU DE NAISSANCE › Washington. NATIONALITÉ › Américaine. ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE › Pour faire classe on va dire qu'elle est « wedding planner » ou organisatrice de mariage pour ceux qui n'auraient pas compris. SITUATION FINANCIÈRE › Aisée. SITUATION AMOUREUSE › Célibataire. ORIENTATION SEXUELLE › Hétérosexuelle. GROUPE › x-men. AVATAR › Troian Bellisario.




once upon a time

Elle est née en Amérique à Washington ∞ Elle ne connait pas son père, sa mère ne l'a jamais mis au courant de sa grossesse et n'a jamais voulu dire à sa fille qui il était. ∞ Elle déteste sa mère qui est une femme tyrannique et particulièrement désagréable. ∞ Elle est fille unique, enfin elle ne sait pas si son père a eu d'autres enfants... ∞ Quand elle était petite, elle ne parlait quasiment jamais, elle était peu sociable et beaucoup de personnes croyaient qu'elle était muette. ∞ Elle est tombée amoureuse d'un garçon lorsqu'elle était petite mais ça mère lui a empêché de le revoir cependant, elle ne l'a jamais écouté, elle a toujours enfreint ses règles. Avec ce garçon elle a fait un pari complètement débile qu'elle regrette : ne pas se voir pendant cinq ans. ∞ Teddy s'est mariée avec un homme qui avait l'âge d'être son père mais, celui-ci est mort suite à une maladie, elle a hérité de tout son argent. ∞ Elle est venue vivre à Chicago pour retrouver son premier amour. ∞ Elle habite désormais en colocation avec une fille qui est lesbienne et qui s'intéresse d'un peu trop près à elle...




behind the screen

PSEUDO OU PRÉNOM › SWEET PEACH (anaïs). AGE › dix-huit ans, bientôt dix neuf (dans deux mois let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) 1117500457). OU AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? › quelque part. let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) 2166578461 COMMENT LE TROUVES-TU › Il est juste AMAZING ! let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) 1828999080 Normal en même temps avec un staff aussi parfait. let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) 2296558964 CRÉDITS › tumblr. UN DERNIER MOT › JE VOUS AIME TOUUUUUUUUUUUS. let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) 2965971428

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Teddy S-R Greyson

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MessageSujet: Re: let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy)   let the skyfall, when it crumbles ∞ (teddy) EmptyVen 8 Fév - 21:48


La gamine soupira, incapable de se défaire de l'emprise que la simple vue de cette robe, à travers la vitrine de ce grand magasin, exerçait sur elle. Du haut de ses dix petites années, elle rêvait de paillettes, de gloire et d'une vie meilleure. Elle soupira une nouvelle fois, s'imaginant parfaitement, quelques années plus tard, enfiler cette robe hors de prix. La plus belle robe qu'elle n'ait jamais vu de sa vie. Dans cette robe, la plus moche des filles devait être aussi belle qu'une princesse... « TEDDY BOUGES TON C*L ON EST PAS LA POUR FAIRE LES MAGASINS ! ». Dur retour à la réalité. La prénommée Teddy quitta la merveille des yeux pour poser son regard sur sa génitrice... Cette femme épuisée par la vie. Cette femme criarde. Cette femme qui manquait terriblement de style et ne prenait pas soin d'elle. Cette femme avec beaucoup trop de kilos en trop. Cette femme qui en voulait à sa gamine de lui avoir volé sa jeunesse et sa liberté. La petite brune ne bougea pourtant pas d'un cil, détournant son regard pour retourner au pays des rêves et s'imaginer dans cette merveilleuse robe... Pourtant, ça ne dura pas bien longtemps. Du moins, jusqu'au moment où elle sentit une masse empoigner beaucoup trop fermement son poignet d'enfant et la trainer jusqu'au bout de la rue. « TU M’ÉCOUTES QUAND JE TE PARLE, OUI ?!? ». Sa mère, évidemment. La vie était dure. La vie était morose. La vie était triste. La petite avait beau se plaindre du mal qu'engendrait la pression de la main de sa mère autour de son poignet, cette dernière n'en avait rien à faire et continuait à tracer son chemin, rageusement. Elle s'arrêta quelques mètres plus loin, au moment où elles arrivèrent devant leur... voiture... du moins ce qui semblait être une voiture. Cette vieille bagnole était à l'image de tous ce qu'elles possédaient : une vraie misère. La petite brune grimpa rapidement dans la voiture, sa mère en faisant de même. Le silence, toujours le silence. Quelqu'un d'extérieur aurait pu se poser des questions quant à la capacité de cette gamine à parler. Était-elle muette ? Non, c'était simplement que depuis enfant, elle avait appris que moins elle en disait, moins sa mère portait son attention sur elle, mieux cela était. Sa mère démarra et comme à chaque fois qu'elle se retrouvait dans cette vieille voiture, alluma une cigarette, manquant d'écraser une bonne dizaine de piétons. Pour une fois, elle ne disait rien, elle ne se plaignait même pas, mais Sutton savait que ce n'était que de courte durée... elle avait raison puisque quelques secondes plus tard, à un feu rouge : « C'est quoi ça ? ». La gamine baissa les yeux, portant son attention sur le petit collier qui pendait à son cou. « Un cadeau... ». Sa voix guillerette trahissait cette peur qu'elle éprouvait face à cette mère un peu trop tyrannique. « Un cadeau ? », et elle partit à rire, se moquant ouvertement de la gamine qui se sentait honteuse tout d'un coup. « Qui pourrait bien vouloir offrir un cadeau à une pouffiasse dans ton genre ? ». Teddy avait beau avoir l'habitude de ce genre d'attaques, à chaque fois les paroles de sa mère s'imprimaient au plus profond de son âme, enlevant, à chaque mot, un peu plus du peu d'estimation qu'elle avait d'elle-même. « Hermès... ». Sa voix n'était qu'un murmure, un léger souffle. Le feu passa au vert et sa mère la quitta du regard, appuyant sur la pédale d'accélération. La tension était palpable. « Le gamin que j'ai vu trainé avec toi l'autre jour ? ». Hermès était un gamin qu'elle avait rencontré quelques années plus tôt. Un garçon. Le seul qui ne la prenait pas pour une folle dans son école. Le seul qui était venu vers elle. Le seul qui l'avait aidé. Le seul qui arrivait à lui redonner espoir. Le seul qui avait réussi à lui faire croire à un avenir meilleur. Il était devenu son essentiel, son meilleur ami, son frère... mais sa mère n'aurait pas compris, alors elle se contenta de dire : « Oui, c'est lui... ». Elle n'aurait peut-être pas du puisque sa génitrice donna un violent coup de volent et se gara près du trottoir, écrasant sa cigarette presque terminée à même le tableau de bord. Elle plongea son regard dans celui de sa fille et ouvrit la bouche : « Je t'ai dis quoi l'autre jour ? Ne t'ai-je pas ordonné de ne plus le voir ? Les garçons sont des salops, des connards, tu ne peux pas compter sur eux et encore moins accepter un cadeau de leur part. Je t'interdis de parler à cet Hermès, je t'interdis même de le regarder ou de penser à lui. ». Elle attrapa alors le collier et tira de toute ses forces dessus. Évidemment, Teddy tenta de l'en empêcher, mais la force d'une gamine de dix ans n'égalait pas celle d'une femme de plus de trente ans. « NOOONN ! ». La gamine regardait, la mort dans l'âme, le collier brisé dans les mains de sa mère. Son cœur se fendit en deux et elle sentit les larmes lui monter aux yeux. « Je t'interdis de pleurer. ». Sa mère était ferme, pas moyen pour elle de lui désobéir. Alors, la femme balança le collier par la vitre ouverte et démarra la voiture. Sutton s'enfonça un peu plus dans son siège, observant d'un œil mauvais ce tyran. Elle se fit alors une promesse qui resta graver en elle pour toujours : jamais, ô grand jamais elle ne serait comme sa mère. Plus tard, elle aura une belle vie, elle aura de l'argent, elle sera cette fille que tout le monde enviera... oui, plus tard, elle aura tous ce qu'elle voudra !


Chère Teddy,

Si tu lis cette lettre, cela veut dire que le pire est arrivé. Cela veut dire qu'en ce moment précis, je suis mort. Ce n'est pas vraiment une surprise, n'est-ce pas ? C'est pour ça que je prends le temps de t'écrire cette lettre... Je me souviens parfaitement le jour où je t'ai vu pour la première fois. Tu avais quoi ? Dix-sept ans ? Tu paraissais si vieille pour ton âge. Si mature. Tu n'étais qu'une enfant. Une enfant qui en avait trop vécu pour son âge. Une vraie petite junkie. Et pourtant, dès lors que j'ai croisé ton regard azur, j'ai su qu'il était de mon devoir de te sauver. Bien sûr, tu n'as pas résisté aux avances d'un homme mûr à la fortune colossalement exquise ! J'ai toujours su que la seule raison pour laquelle tu t'es intéressée à moi la première fois, était ma richesse. Mais je ne m'en suis pas vraiment plaint. J'ai d'ailleurs cette illusion, cette étrange satisfaction qu'au fur et à mesure des années, tu t'es accrochée à moi. Oui, tu m'appréciais. Peut-être pas comme ton statut devait te donner le droit de l'être, mais tu m'aimais. Alors, nous nous sommes mariés. Tu étais comme cendrillon. Une vraie princesse désormais. Je crois que ce qui m'a fait tomber sous ton charme, c'est ton esprit rebelle, cette liberté que tu avais malgré l'argent, malgré la bague qui pendait à ton doigt. Tu ne m'as jamais aimé comme une femme aime son mari, non, tu m'as aimé comme on aime un père finalement. Et d'ailleurs, où est-il celui là ? Tu ne m'as jamais raconté ton histoire, même si j'espérais chaque jour que tu le fasses. La seule trace était celle de ce Hermès. J'en étais jaloux. Je le suis toujours d'ailleurs. Sans savoir pourquoi, ce gamin avait touché ton cœur bien plus profond qu'aucun autre être humain n'est capable de le faire. Même moi je n'y suis pas parvenu. Retrouves-le. Oui, aujourd'hui je suis mort, mais ne te sens pas obligée de garder cette bague, je sais que tu veux l'enlever. Je te donne tout mon argent. Je refuse que mes frères en aient le moindre centime. Tu es la seule qui a été présente tout au long de ma maladie. Encore une fois, tu as été surprenante. D'une désinvolture extrême, mais je savais que ça te touchait. J'ai toujours su lire en toi, malgré le fait que chaque jour, tu me surprenais un peu plus. Tu étais l'inconnue, la jeunesse, la vitalité... Si je t'ai écrit cette lettre avant de partir dans ce monde lointain que personne ne connait c'est tout simplement pour te rendre ta liberté, vis ta vie Sutton mais sache une chose, même en étant là haut je t'aimerais toujours.

Adieu.
Arthur.


Cette lettre avait marqué un tournant décisif dans la vie de Teddy. Elle avait écouté les conseils de son défunt mari, elle allait retrouver Hermès et pour ça, elle était prête à remuer ciel et terre. Après avoir mené son enquête comme une vraie détective, la jeune femme avait appris que celui-ci résidait désormais à Chicago. La jolie brune se fichait pas mal de savoir s'il avait quelqu'un dans sa vie ou non, après tout c'était un stupide défi qui les avait séparé pendant cinq ans, il était donc temps d'y mettre fin pour retrouver leur complicité d'antan. En venant vivre à Chicago, la demoiselle se laissa du temps pour s'installer, pour apprendre à connaître cette ville avant de le retrouver. Elle s'installa en colocation avec une jeune femme... Colocation qu'elle n'aurait sans doute jamais pu imaginer ainsi au départ, sa colocataire était en effet de sexualité différente, elle aimait purement et simplement les femmes, chose qui ne dérangeait absolument pas Teddy jusqu'au jour ou Rebekah, sa colocataire commença à s'intéresser à elle en lui faisant des avances. « Je n'aime pas les femmes mon truc c'est les hommes, alors maintenant fiche moi la paix Rebekah. » Sa colocataire était amusée par sa réaction, elle attrapa la brune par le poignet, la ramenant contre elle, passant son bras autour de sa taille pour la maintenir serrée contre son bassin. « C’est ce que je disais avant. Crois-mois, dans pas longtemps tu me supplieras pour que je m’occupe de toi. » Et sur ce, Rebekah la relâcha, laissant une brune mi-agacée mi-surprise. Teddy connaissait sa colocataire, elle savait pertinemment qu'elle n'abandonnerait pas de si tôt. Comment se finirait ce petit jeu ? Teddy essayait d'éviter Rebekah, mais c'est difficile quand on habite sous le même toit...

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